Résumé : |
L'attrait pour le portrait individuel, en Europe, au 15e siècle, puis la vogue des portraits dessinés au 16e siècle. La spécificité française du dessin aux crayons, très apprécié par la cour et par la bourgeoisie. Procédés utilisés pour ces oeuvres d'art autonomes. Particularités de la fonction du portrait, moyen choisi par la cour de France afin d'envoyer des portraits à ses parents éloignés ou aux cours étrangères pour se faire connaître. Présentation de l'innovateur de cette formule, le portraitiste Jean Clouet bientôt supplanté par son fils François Clouet, tous deux artistes pensionnés à la cour de François Ier. Usages des portraits de cour par la reine Catherine de Médicis qui fit effectuer de nombreux portraits de ses enfants et des membres de la famille royale. La fonction sociale du portrait. La difficulté d'identification des artistes et des portraiturés dans les dessins dispersés dans divers musées et collections. Iconographie : portraits de personnages de la cour de France par François Clouet. |